sunnuntai 23. kesäkuuta 2013

La fête de la musique 21.6

Passant mes derniers jours à Paris, j'ai vu pour la première fois la ville renaître comme le phènix des cendres. Paris, c'est une ville completement grise pour sept mois de l'année, une ville de chaux sous la pression de l'histoire, étouffée par la muséification et son prestige. Mais, comme une métropole moderne, Paris se battre contre l'inevitable, donc il reste des choses vivantes, comme la fête du milieu de l'été. L'atmosphère est devenue libéré et légere comme une plume, parfois j'ai pu me déplacer partout dans la ville sans toucher le trottoir avec mes pieds. L'effet simple qui construit l'experience d'une ville vivante, c'est la possibilité de trouver par hasard de la musique qui te plaît à chaque coin de rue, sans un plan, sans rien que du temps et une ville immense et cacophonique. Pour quelques heures, Paris m'apparaît comme un patient qui a regagné sa santé pour une nuit de l'été. Cela me rappelle beaucoup de la culture finlandaise, renaissant tous les étés pour une vie survolté et maniaque pour quelques mois, juste pour retomber dans la même état catatonique de l'hiver.

Après ayant parlé avec plusieurs gens francais pendant la soirée, je me suis convaincu du lien véritable entre les festivals finlandais et les pareils en France. Dans toutes les deux, il y a l'ésprit d'échapper le quotidien engourdi et surtout en France, de s'éloigner de la rigidité et de la hiérarchie si inhérent dans une culture vieille.        
Il reste quand même une sorte de distance dans la féstivité francaise. Les gens les plus immersés dans l'ésprit de la nuit que j'ai croisé étaient pour la plupart originalement du Sud, ayant arrivées à Paris chassant du travail ou n'importe quoi. Pour eux, la fête de la musique m'apparaît d'être la chaine pour soulager la légèreté inhérent dans les régions au Sud plus proche des cultures latines, c'est-à-dire l'Espagne et l'Italie. Evidemment, la distance entre les cultures des climats chauds et Paris est immense, géographiquement et spirituellement. C'est pour ca que la fête de la musique serve comme une arme utile pour exorciser la haine et les frustrations si evidentes à Paris, le capitale en train de mourir. Ca ne m'étonne pas si un jour un historien propose que les dernieres traces de la vie vraiment réelle à Paris étaient celles comme la fête de la musique.  

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